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10 octobre 2005 1 10 /10 /octobre /2005 22:00

Mes photos d'aujourd'hui,

Le cyprès chauve

Chauve car il perd ses épines l'hiver

 Impressionnantes ses racines !

Ses racines aériennes lui permettent de respirer.

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30 septembre 2005 5 30 /09 /septembre /2005 22:00

 

Toujours fidèle à ses maîtres, pour les balades comme pour le travail et par tous les temps ( pluie, neige ) il mérite bien cette honorable retraite 

 

retraite

du côté de Vielsam


Vieille demeure rénovée

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20 septembre 2005 2 20 /09 /septembre /2005 22:00

 

Aujourd'hui, je suis allée me balader dans la campagne en longeant les haies avec l'intention de cueillir des mûres et... j'en ai trouvé.

A cause de la sécheresse, elles sont plutôt petites et plus rares.

Je vais faire quelques pots de confitures en ne me compliquant pas la tâche.

Avec confisuc" spécial gelées "

Lavez et égouttez les mûres.
Chauffez les mûres dans une casserole avec 15 cl d'eau. Avec le dos de l'écumoire pressez les mûres pendant 15 minutes.
Filtrez et récupérez le jus.
Mélangez 0,850 kg de jus ainsi obtenu avec 1 kg de Confisuc " spécial gelées ".

Portez sur feu vif en mélangeant. Maintenez à ébullition pendant 5 minutes. Le temps de cuisson commence à partir du moment où la gelée bouillonne fortement.

Remplissez vos pots à chaud et fermez-les.

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19 septembre 2005 1 19 /09 /septembre /2005 22:00

 Des crayons de couleurs, un simple taille crayon , de la colle ,un peu d'imagination et la magie de la composition opère.

 Fournitures:   du papier aquarelle (300g.), un crayon à papier ,une gomme , une boite d'aquarelle, un marqueur noir,des feutres fins, 2 pinceaux (n2 et n10), une paire de ciseaux , un taille crayon, des tailles de crayons multicolores, un tube de colle à bois rapide.

(cette colle devient translucide au séchage)

  Mon  premier  ouvrage                

 Les explications sont dans un livre aux  éditions Didier Carpentier, je peux vous en donner la référence si vous le souhaiter

 

Joséphine  ( 1804 )

 

Marie- Antoinette ( 1780 )                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                

                                                          


                                           

 

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18 septembre 2005 7 18 /09 /septembre /2005 22:00

ca,  c'est une vrai détente pour moi

Quand ça me prend , je fais de la pâte à sel !...j'aime bien  créer...

Quand je commence je ne sais pas encore  quel personnage ou quel objet va apparaître. C'est encore un inconnu, c'est en travaillant que la naissance arrive .

Essayer c'est simple et  amusant, voir recette et fabrication en image,

Les outils. La sorcière. Bécassine.. L'oie. Clémentine.

http://www.alapatasel.com/ 

 prêtes à sécher

 

 c'est Clémentine et Julie

 

 Augustine

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13 septembre 2005 2 13 /09 /septembre /2005 22:00
 
  Pas drôle
 
Un boiteux et un bègue bavardent:
- Si tu tuuu tutu... tu savais comme c cc cc'est gênant de papa pa pouvoir se... s'exprimer comme tttt tout le monde  pfffff !
-Ben tu sais , chacun son handicap. Regarde moi par exemple, j'ai un pied plus court que l'autre, alors je boite.
Et dans la rue tout le monde me regarde du coin de l'oeil.
-Ah ben tata t'as raison là...mais momo mmmoi je connais uuun truc  ppp pour plus boiboi boiter
- C'est vrai ça ? si tu me le dis , moi j'te dirai un truc pour plus bégayer.
- Ben é é écoute... c'est simple. tutu tu marches au bobo bord du trotro trottoir en mettant  un un un pied dans le caca caniveau.
-Formidable ton truc... j'y avais pas pensé... vraiment t'est un pot toi !
- Et ttt toi ton truc... pour plus bégayer ?
-C'est simple aussi : tu fermes ta gueule  !
 
 
 
 
 
 
À ceux qui ont des adolescents ou à venir!!!!!!!!!!!

Un père passe devant la chambre de son fils et s'étonne de trouver la chambre en ordre et le lit bien fait. C'est alors qu'il aperçoit une enveloppe bien en évidence sur son oreiller adressée « Papa ». Avec la pire prémonition, il ouvrit l'enveloppe avec des mains tremblantes et lut la lettre.

 Cher papa,

 C'est avec beaucoup de regret et de peine que je t'écris. J'ai dû fuguer avec ma nouvelle petite amie parce que je voulais éviter une scène avec toi et maman. J'éprouve une réelle passion pour Stacy et elle est tellement fine. Par contre, je savais que vous ne l'estimeriez pas avec ses « piercings », ses tatouages et ses vêtements serrés de motard et parce qu'elle est beaucoup plus vieille que moi. Mais ce n'est pas seulement la passio n.... Papa, elle est enceinte. Stacy dit que nous serons très heureux. Elle possède une caravane dans la forêt et a du bois de chauffage pour tout l'hiver. Nous partageons le rêve d'avoir d'autres enfants. Stacy m'a ouvert les yeux au fait que la marijuana ne fait de mal à personne. Nous allons en cultiver nous-mêmes et l'échanger avec d'autres gens dans la commune pour obtenir toute la cocaïne et l'ectasie que nous voulons. En attendant, nous espérons que la science aura trouvé un remède pour guérir le SIDA afin que Stacy aille mieux. Elle le mérite vraiment! Ne t'en fais pas papa, j'ai 15 ans et je sais prendre soin de moi. Un jour, je suis certain que nous serons de retour afin que nous vous présentions vos petits-enfants.

 Je t'aime, ton fils John.

 P.S. Papa, rien de tout ceci est vrai. Je suis chez Tommy. Je voulais juste te rappeler qu'il y a des choses bien pire que le bulletin que tu trouveras dans le tiroir du milieu de mon bureau.

 Je t'aime. Appelle-moi lorsqu'il sera sécuritaire pour moi de retourner à la maison


 
 
 
 
 
  Deux vieilles dames se retrouvent au marché pour faire leurs courses. Cela fait quelques temps qu'elles ne se sont pas vues. Elles discutent de leur santé réciproque, puis, ayant épuisé le sujet, elles en viennent à parler de
Leurs maris...
- Oh Robert est mort la semaine dernière; c'est incroyable ce qui lui est arrivé ! Il allait dans le jardin pour cueillir une salade pour le midi, et PAF! Crise cardiaque. Voilà mon Robert mort étendu de tout son long au beau milieu du potager !!!
- Oh mon Dieu, ce n'est pas vrai. Je ne savais pas... Je suis vraiment désolée. Et qu'est-ce que tu as fait alors?
- Bah, j'ai ouvert une boite de petits pois à la place.


Une dame est à la fenêtre de sa maison  et voit se garer devant chez elle un camion  des cols bleus de Montréal.
Un premier gars en descend, prend une pelle et creuse un trou.
Et ainsi de suite...
 
Un deuxième gars sort du camion, prend une pelle et rebouche tous les trous que son collègue  continue à creuser.
Intriguée, la dame va les voir et les interroge sur leur  travail.
 
Et le premier agent répond:" Je sais que ça peut paraître bizarre.
D'habitude nous sommes trois dans l'équipe mais aujourd'hui le gars qui plante les arbres est en congé maladie.
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 POUR RIRE

C'est la nuit des noces. Au milieu de la nuit la jeune mariée se réveille, soupire, s'étire, secoue son mari. Celui-ci se réveille et demande :
- Qu'est-ce qui t'arrive, chérie? Tu n'arrives pas à dormir?
- Oh, non, je ne peux pas. Tu sais, quand j'étais petite et
que je n'arrivais pas à m'endormir, ma mère me prenait dans
son lit, m'embrassait, me câlinait... et je m'endormais
très vite après.
- Non mais, et puis quoi encore ? Tu voudrais peut-être que
j'aille chercher ta mère en plein milieu de la nuit ?
  

 
 


 
 
                                                       
 
 
 
Anniversaire
 
Un jeune homme veut offrir un cadeau d'anniversaire à sa petite amie.

Ils sortent ensemble depuis peu, donc il décide, après mûres réflexions, de lui offrir une paire de gants; c'est romantique, et ce n'est pas trop direct !
En compagnie de la soeur de sa chère et tendre, il se rend donc dans un magasin d'habillement  et achète une paire de gants blancs.
La soeur en profite pour s'acheter deux petits slips de coton blanc.

Malheureusement , pendant l'emballage, le vendeur échange les deux paquets:
La soeur se retrouve avec les gants, alors que notre jeune ami  récupère les petits slips . Sans faire plus attention au contenu du paquet,, le jeune homme le met dans un colis à destination de sa chère et tendre, accompagné de  la lettre suivante:

Mon amour,
Je les ai choisis car j'ai remarqué que tu n'avais pas l'habitude d'en m'ettre lors de nos rendez vous .
Ta soeur n'aurait pas été là, j'aurais choisi le modèle avec des boutons, mais elle en porte des plus courts
qui sont faciles à enlever.
Ils sont de couleurs claire, mais la vendeuse m'a montré ceux qu'elle porte depuis trois jours, et ils n'étaient quasiment pas sales.
Je lui ai fait essayer les tiens , qui lui allaient très bien.
J'aurais souhaiter être là lorsque tu les étrenneras car, j'en suis sûr.
d'autres mains que les miennes les toucheront avant que j'ai la chance de te revoir.
Quand tu les enlèveras, n'oublie pas de souffler dedans , car ils deviennent naturellement humides lorsqu'on les porte.
Pense seulement aux nombre d'occasions  que j'aurais de les embrasser dans l'année qui vient.

J'espère que tu les porteras pour moi vendredi soir . Avec tout mon amour .
PS : il est à la mode de les porter légèrement replier,
avec un peu de fourrure visible .


 

 

 

 

 

 

 

 

                                               

 


  Pourquoi manque-t-on d'institutrices maternelles ?

Un des gamins demande de l'aide à la maîtresse pour mettre ses bottes

Et, en effet, elles sont vraiment dures à enfiler.

Après avoir poussé, tiré, poussé, tiré dans tous les sens, les bottes sont chaussées et le gamin lui dit: "elles sont à l'envers maîtresse".

 La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet, les bottes sont à l'envers.

Bref..., nouvelle galère pour les enlever, et elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.


 Et là le gamin dit: "c'est pas mes bottes !".

A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, elle se calme et demande pourquoi il ne l'a pas dit avant.

 "Bon, allez, on les enlève" dit-elle et elle se met au boulot.
 
Le gamin poursuit : "c'est pas mes bottes, c'est celle de mon frère,
mais maman a dit que je dois les mettre".

 Là, elle a envie de hurlerr et entreprend de lui re- re mettre ses bottes.

 Pour finir, elle le met debout, lui enfile son manteau , son cache-nez et demande "où sont tes gants?".

 Le gamin répond :
 "Je les ai mis dans mes bottes."

  
"Maudite surdité....AH   
 
Deux types discutent de leurs épouses vieillissantes. L'un deux est sûr que
 
la sienne devient sourde. L'autre type lui fait une
 
suggestion pour tester son audition.  
 
"Voilà ce que tu vas faire. Tu commences à 15 mètres d'elle, tu parles sur
 
un ton normal de conversation et tu vois si elle t'entend. Sinon tu te mets
 
à 10 mètres, puis à 8 mètres, et ainsi de suite jusqu'à ce que tu obtiennes
 
une réponse".
 
Alors, ce soir-là, elle est dans la cuisine en train de préparer le dîner,
 
il est dans le living et il se dit à lui-même "Je suis à environ
 
15 mètres, voyons ce qui arrive !"  
 
"Chérie, qu'est-ce qu'il y a pour le dîner ?" Pas de réponse.Alors il se
 
déplace jusqu'au bout de la pièce à environ 12 mètres. "Chérie, qu'est-ce
 
qu'il y a pour le dîner ?" Pas de réponse. Alors il va dans la salle à
 
manger à environ 8 mètres.  
 
"Chérie, qu'est-ce qu'il y a pour le dîner ?" Pas de réponse. À la porte
 
de la cuisine à environ 5 mètres. "Chérie, qu'est-ce qu'il y a
 
pour le dîner ?" Pas de réponse. Alors il marche droit jusqu'à elle.  
 
"Chérie, qu'est-ce qu'il y a pour le dîner ?"  
 
"POUR LA CINQUIÈME FOIS, DU POULET !!!!!!"
 
 
cuit...cuit...pauvre Jimmy

Plutôt en rire
Le verbe aimer est difficile à conjuguer.
Son passé n'est pas simple.
Son présent est imparfait,
Et son futur est toujours au conditionnel.
( Jean Cocteau )

Quand on voit ce que les pigeons ont fait sur les bancs des parcs, il faut remercier Dieu de n'avoir pas donner d'ailes aux vaches .
( Régis hauser )

Le lit est l'endroit  le plus dangereux du monde puisque 99% des gens y meurent .
( Mark Twain )

Un concerné n'est pas forcément un imbécile en état de siège,  un concubin n'est pas obligatoirement  un abruti de nationalité Cubaine .
 
 Une petite blague

Un couple avait 2 garçons, un de 8 ans et l'autre de 10 ans, de vrais espiègles, il n'y avait rien à leur épreuve,
 ils avaient fait à peu près tous les mauvais coups incroyables qui avaient eu lieu dans leur petit village.
À chaque fois que quelque chose se passait dans le village, les résidents savaient qui étaient les responsables.


La mère les avait punis, grondés, discuté avec eux mais c'était peine  perdue.  
Le père, après avoir fait la même chose, dit à sa femme : 
"Qu'est-ce que tu dirais si on demandait au curé de discipliner deux espiègles?"
Ils demandèrent donc au curé de discuter avec leurs enfants, mais il devait leur parler un à la fois.

 

Donc le plus jeune se présenta au presbytère le matin, le curé le fit asseoir et
immédiatement lança au jeune : "Où est  Dieu? Aucune réponse.


Le curé répéta : "Tu connais le Bon Dieu ! Où est-il ?" 
Toujours le silence. Le curé exaspéré par le silence du jeune lança cette fois-ci de sa grosse voix autoritaire :
 "Pour la dernière fois, je te demande, où est Dieu ?"

Le jeune se leva, prit ses jambes à son cou et sans s'arrêter se sauva directement chez lui.
En arrivant, il prit son frère par le bras le tira jusque dans le garde-robe ferma la porte et
à bout de souffle lui dit: "On est dans la merde, ils ont perdu le Bon Dieu et ils pensent que c'est nous autres. "

 


 

 

 

 

 

 

 

 

  Un couple décide de partir en vacances. Au dernier moment, la femme ne peut partir avec son mari. Il est donc décidé qu’il partirait le premier et sa femme, le lendemain. L’homme arrive comme prévu, il y a un ordinateur connecté a internet. Il décide alors d’envoyer un courrier à son épouse. Mais il se trompe en écrivant l’adresse e-mail. C’est ainsi qu’une veuve qui vient de rentrer des funérailles de son mari reçoit le message. A sa lecture, elle s’évanouit. Sur l’écran on peut lire :

A : mon épouse bien aimée
Sujet : je suis bien arrivé.
Tu seras certainement surprise de recevoir de mes nouvelles. Ici, ils ont des ordinateurs et tu peux envoyer des messages a ceux que tu aimes. Je viens d’arriver et j’ai vérifier que tout était prêt pour quand tu viendras me rejoindre, demain. J’ai hâte de te revoir. J’espère que ton voyage se passera aussi bien que s’est passé le mien.
P.S : Il n’est pas nécessaire que tu apportes beaucoup de vêtements. Il fait une chaleur d’enfer ici.

 


 

La preuve que la terre se réchauffe

 


 Un homme se fait bronzer nu sur la plage.

En voyant une petite fille s'approcher, il prend son journal
et cache son sexe.
La petite fille demande :
Qu'est-ce que tu caches avec ton journal ?
Euh, c'est un oiseau.
La petite fille s'éloigne et l'homme retire son journal pour
continuer à se faire bronzer. Il s'endort et se réveille
plustard
avec une douleur insupportable au niveau de son sexe. 
Il se retrouve à l''hopital et l'infirmière lui demande :

Qu'est -ce qui s'est passé ?
Je ne sais pas, je me suis endormi et en me réveillant,
j'avais cette douleur atroce !

 Vous ne vous souvenez de rien de particulier avant votre
sommeil ?

La seule chose de particulier, je me faisais bronzer nu et
une
petite fille s'est approchée, je me suis donc caché avec un
journal
>et la petite fille est repartie.
>Les policiers font une enquète et vont rencontrer
la petite fille.
Ils demandent :

 Ma petite,tu as vu aujourd'hui un homme se faire bronzer
et il
t'a dit qu'il cachait un oiseau avec son journal.
>Ensuite tu es partie.

Est-ce que tu sais ce qui est arrivé ensuite ?
OUI, j'ai passé pour voir l'oiseau, et il n'etait plus caché
>>par
le journal ! Alors, je l'ai caressé et j'ai joué avec.
 Il m'a craché
au visage et j'étais fachée alors je lui ai tordu le cou,
j'ai écrasé
ses oeufs et j'ai mis le feu à son nid !...

Morale de l'histoire : Ne mentez jamais aux enfants.

 

 

 Fallait y penser !   

Un mécanicien était en train d'enlever la tête d'un moteur d'une Harley quand un chirurgien cardiaque bien connu entre dans le garage.   

Il attendait qu'on le serve quand le mécanicien lui crie depuis l'autre bout du garage: "Hey Doc, je peux vous poser une question?"   

Un peu surpris, le chirurgien va voir le mécanicien qui travaillait sur la Harley. Le mécanicien se lève, s'essuie les mains sur une guenille et lui demande: "Regardez cette machine, Doc. J'ai ouvert son coeur, j'ai enlevé les valves, je les ai arrangées, je les ai remises en place et quand j'ai eu terminé, tout fonctionnait comme neuf. Alors comment ça se fait que j'ai un aussi petit salaire et que vous soyez aussi riche alors que nous faisons pratiquement le même travail?"   

Le chirurgien sourit et murmure à l'oreille du mécanicien:

  Essayez de faire tout ça pendant que la machine est en marche !  


 

 Un français et un québécois vont en camping. Ils installent leur tente
dans une clairière et se couchent pour dormir.

Quelques heures plus tard, le québécois réveille le français et lui dit :

* Regarde dans le ciel et dis-moi ce que tu vois.
* Des millions d'étoiles !
* Et qu'est-ce que ça veut dire, selon toi ?

Le francais interprète la question un instant et dit :

* Bien, astronomiquement parlant, cela veut dire qu'il y a des millions de
galaxies et des milliards de planètes dans le vaste espace.

  Astrologiquement, cela me dit que Saturne est en Verseau.

  Pour l'heure, je dirais qu'il est quatre heures du matin.

  Théologiquement parlant, il est évident que Dieu est tout puissant que nous sommes petits et faibles.

  Météorologiquement, il semblerait qu'il fera très beau demain.

Après s'être fait dévisager par le québécois pendant quelques minutes,
 il reprend :

* Quoi, qu'est-ce que j'ai dit de mal ?

* Gros sans génie ! Ça veut simplement dire qu'on s'est fait piquer la tente !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

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13 septembre 2005 2 13 /09 /septembre /2005 22:00
Fable de la boîte à baisers
Il y a plusieurs années, un père punit sa fillette de trois ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré.
L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette utilisa le papier pour décorer une boîte à cadeau pour occuper le dessus du sapin de Noël.
 
Le lendemain matin, la petite enfant apporta le cadeau à son père en lui disant : "C'est pour toi papa" !
Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction.
 
Toutefois, elle se raviva et ne fût qu'empirer quand il découvrit que la boîte était vide.
Il criat à sa fille !
 
"Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet cadeau, il doit toujours y avoir quelquechose dans la boite.
La fillette regarde son père,les yeux  remplient de larmes et lui dit
 
-" Mais papa,la boîte n'est pas vide je l'ai remplie de baisers juste pour toi ! "
 
Le père était chaviré. Il enlaçat sa fille ,la priant  de lui pardonner sa réaction.
Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette.
 
Le père garda longtemps la boîte, tout près de son lit.
 
A chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boite, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que l'enfant  que l'enfant avait mis
 
Au fond cette fable nous rappelle  qu'il est donné à chacun de nous , comme humain, de disposer d'une telle boite dorée,remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfants, de nos amis (es ) famille
.
Existe-t-il de plus beaux cadeaux ?
------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Le vieux sage et le marchand

Il était une fois un vieil homme, assis à la porte d'une ville.

Un jeune homme s'approche de lui :

- " Je ne suis pas d'ici, je viens de loin ; dis moi, vieil homme, comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? "

Au lieu de lui répondre, le vieillard lui renvoie la question :

- " Et dans la ville d'où tu viens, comment les gens étaient-ils donc ? "

Le jeune homme aussitôt, plein de hargne :

- " Egoïstes et méchants, au point qu'il m'était impossible de les supporter plus longtemps ! C'est pourquoi j'ai préféré partir ! "

Le vieillard répond :

- " Mon pauvre ami, je te conseille de passer ton chemin: les gens d'ici sont tout aussi méchants et tout aussi égoïstes ! "

Un peu plus tard, un autre jeune homme s'approche du même vieillard :

- " Salut, ô toi qui es couronné d'ans ! Je débarque en ces lieux ; dis-moi, comment sont les gens qui vivent dans cette ville ? "

Et le vieil homme de le questionner à son tour :

- " Dis-moi d'abord, là d'où tu viens, comment les gens étaient-ils ? "

Le jeune homme, dans un grand élan :

- " Honnêtes, bons et accueillants ! Je n'avais que des amis; oh que j'ai eu de peine à les quitter ! "

Le vieillard répond :

- " Eh bien, ici également, tu ne trouveras que des gens honnêtes, accueillants et pleins de bonté. "

Un marchand faisait boire ses chameaux non loin de là, et il avait tout entendu :

- " Comment est-il possible, ô vieil homme que je prenais pour un sage, de donner, à la même question, deux réponses aussi diamétralement opposées ? Serait-ce un poisson d'avril? "

- " Mon fils, déclara le vieil homme, chacun porte en son coeur son propre univers et le retrouvera en tous lieux. Ouvre ton coeur, et ton regard sur les autres et le monde sera changé."


 
La complainte du chien abandonné !

                                                         .


Au fond du vieux refuge, dans une niche en bois,
Depuis deux ans je purge, d'avoir trop cru en toi.
Tous les jours je t'attends, certain que tu viendras,
Tous les soirs je m'endors, sans que tu ne sois là.



Pourtant je suis certain, je te reconnaîtrai,
Viens me tendre une main, je te la lécherai.
Tu te souviens très bien, quand je sautais sur toi,
Que tu me caressais, que je dansais de joie.



Que c'est il donc passé, pour que ce 16 juin,
Heureux que tu étais, je me rappelle bien,
Tu sifflais, tu chantais, en bouclant les valises,
Que tu m'aies attaché, là, devant cette église.



Je ne peux pas comprendre, et ne croirai jamais,
Que toi qui fus si tendre, tu sois aussi mauvais.
Peut-être es-tu très loin, dans un autre pays,
Mais quand tu reviendras, moi j'aurai trop vieilli.




Ton absence me pèse, et les jours sont si longs,
Mon corps s'épuise, et mon cœur se morfond.
Je n'ai plus goût à rien, et je deviens si laid,
Que personne, jamais, ne voudra m'adopter.



Mais moi je ne veux pas, que l'on me trouve un maître,
Je montre bien mes dents, et je prends un air traître,
Envers qui veut me prendre, ou bien me caresser,
Pour toutes illusions, enfin leur enlever.

 

Car c'est toi que j'attends, prêt à te pardonner,
A te combler de joie, du mieux que je pourrai,
Et je suis sûr, tu vois, qu'ensemble nous saurions,
Vivre des jours heureux, en réconciliation.




Pour cela, je suis prêt, à faire de gros efforts,
A rester près de toi, à veiller quand tu dors,
Et à me contenter, même si j'ai très faim,
D'un vulgaire petit os, et d'un morceau de pain.

 

Je n'ai jamais rien dit, lorsque tu m'as frappé,
Sans aucune raison, quand tu étais énervé,
Tu avais tous les droits, j'étais à ton service,
Je t'aimais sans compter, j'acceptais tous tes vices.

 

Tu m'as mis à la chaîne, ou tu m'as enfermé,
Tu m'as laissé des jours, sans boire et sans manger,
J'ai dormi bien souvent, dans ma niche sans toit,
Paralysé, raidi, tellement j'avais froid.


 

Pourtant, si tu reviens, nous partirons ensemble,
Nous franchirons en chœur, la porte qui ressemble,
A celle d'une prison, que je ne veux plus voir,
Et dans laquelle, hélas, j'ai broyé tant de noir.

 

Voilà, mon rêve se termine, car je vois le gardien,
Puis l'infirmière, et le vétérinaire plus loin,
Ils entrent dans l'enclos, et leurs visages blêmes,
En disent long pour nous, sur ce qu'ils nous amènent.

Je suis heureux, tu vois, car dans quelques instants,
Je vais tout oublier, et, comme il y a deux ans,
Je m'endormais sur toi, mon cher et grand ami,
Je dormirai toujours, grâce à …l'euthanasie.

 

Et s'il t'arrive un jour, de repenser à moi,
Ne verse pas de larmes, ne te prends pas d'émoi,
Pour toi, j'étais " qu'un chien ", tu préférais la mer,
Tu l'aurais su avant, j'aurai payé moins cher.

 

A vous tous les humains, j'adresse une prière,
Me tuer tout petit, aurait peiné ma mère,
Mais il eut mieux valu, pour moi, cette manière,
Et vous n'auriez pas eu, aujourd'hui, à le faire.

texte brigitte bardot

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30 août 2005 2 30 /08 /août /2005 22:00

Les lits étaient rebondis par les matelas et couettes garnies de plumes d’oies, de gros draps de cotons, couverture recouverte d’un couvre pied  de laine uni d’un côté, cretonne fleurie de l’autre…traversin et deux gros oreillers !   

Quand on faisait le lit nous devions battre avec le bâton « de lit » la couette pour la remodeler.  

L’été nous profitions de belles journées pour aérer les couettes et matelas afin de leur redonner du volume.  

 Ca faisait chaud et haut, c’est pour ça qu’on disait : on va monter au lit.

 La toilette     

 

 Le dimanche matin c’était la grande toilette dans la bassine.

Cette espèce de louche "appelée godet"  servait à prendre de l’eau qui sortait par sa queue ; une fois remplie c’était comme un robinet. L’eau s’écoulait sur le pavé légèrement pentu vers l’extérieur…  

  Papa ne se rasait pas tous les jours, juste avant de se changer quand il avait une course à faire, soit une réunion du conseil municipal ou la livraison de sa récolte à "Le maraîcher sarthois" il choisissait  l’heure la plus lumineuse du jour devant un petit miroir accroché à une pointe entre la porte et la fenêtre ou en dessus de l’évier en ciment.

 

Il fallait prévoir de mettre de l’eau à chauffer soit au bain marie de la cuisinière à bois, soit dans la marmite.

 Puis il affûtait longuement sur un cuir à double face, son coupe- choux. Puis après avoir enduit de savon Gibbs son menton plus rude qu’un blaireau, il commencait un grattage en règle… je me souviens du crissement du rasoir.

Ensuite la toilette était vite expédiée avec un coin de serviette mouillée dans une cuvette en émaillée ou galvanisée et du savon de Marseille, c’était pour toute la famille pareille, nous ne connaissions pas les gants de toilette.

Selon le vent      

Je me souviens des cloches des églises! nous les entendions au loin dans le calme de la campagne, selon le sens du vent nous entendions Allonnes, Pruillé le chétif, st Georges du plain ou du bois, Rouillon  et tout le Mans

Le dimanche et fêtes elles sonnaient presque toutes en même temps, il y avait messe partout.

Elles sonnaient les évènements heureux baptêmes, mariages ou le glas pour annoncer qu'un paroissien était parti pour l'au delà.

Matin, midi et soir c'était pour l'angélus (prière ). Pour nous en fin de journée, ça voulait dire qu'il était  7h: les montres et horloges étaient souvent réglées en fonction des angélus*

Les cloches étaient sonnées par le sacristain, un enfant de coeur ou une bonne âme de la commune.

Les cloches des églises paroissiales avaient un language et jouaient un rôle important dans nos vies.


 

 texte en sarthois 

Des petits pois

Des menteries ça ? non, pour sûr, embobiner les gens, c'est point mon habitude à moi.

Vous connaissez tous le gars Guste, bordéger à la petite lande.

L'autre soir, son gars, vla t'y pas qu'y lui dit  en rentrant de l'école:

- Le maître d'école, y m'a dit que c'est point des sapins qu'y a par chez nous, c'est des pins, même il nous a appelé ça des pins maritimes.

Entendre une pareille affaire, le gars Guste s'est monté la tête d'un coup. La mine y a drugi pour de bon .

- En v'là une devinée. Les pins c'est dans c' te forêt. C'est point personne qui va veni nous apprendre si y a des sapins à st-mars. Je suis venu au monde ici, les sapinettes tombant pour ainsi dire dans la marmite par la cheminée. Et j'ai gardé mes vaches dans ces landes de Rhonne, a mangeaient de la pivardaine et des sapinettes et elles avaient même plus de lait dans les cornes que dans le pé.

Avoir son père si affoné, gars Gène a cru bon de faire comme les fouquiets: changer de branche.

Le maître d'école , y m'a dit aussi  que les pois que tu m'as donné pour la leçon , c'est point des pois.

- De què?  Que mes pois c'est point des pois ? Et pi què encore ?

-Eh ben!... Que tes pois y s'appelant des haricots.

Le gars Gène, il a ben cru qu'il allait se faire piaquer la goule, son père y poussait les yeux à sa rencontre.

-Les pois ne seraient pas des pois ! pourtant pour faire maître d'école, faut point être bourri. Faut même être ben esprité. N'empêche, je le défie de trouver dans le canton un jardinier qu'appelle plus les pois les pois. Et, même, n'importe quel jardinier y dirait à ton maître d'école, qu'y a deux sortes de pois: les pois de pied ou à rames et les pois ronds, c'est point pareil en tout . Mais c'est des pois tout de même.

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30 août 2005 2 30 /08 /août /2005 22:00

 

 

Depuis ma petite enfance j'au vu des chats autour de moi, à la sortie de l'étable ils étaient au rendez vous, ils connaissaient les habitudes et attendaient patiemment que la traite soit faite pour avoir du lait nous leur en donnions de grandes assiettes.   

 

 Ah les minets, ils aiment tremper leur menton dans la mousse de lait tiède.   

 

L'hiver ils rentraient pour se réchauffer près de la cheminée.   

 

Chats de mon enfance, petit peuple silencieux et doux ( mes complices ) quand ils le pouvaient ils venaient dormir avec moi.   

 

Ponpon, chat abandonné que nous avions recueilli, lui était spécialiste de la pêche aux poissons dans l'auge, il était très adroit: un coup de patte = 1 poisson.   

 

Mistinguet! Elle...chassait les lapins,   

 

Un jour une bosse sous une couverture ? Minette avait choisi cet endroit pour faire ses petits.   

 

Et depuis que j'ai un numérique, chaque chat que je rencontre = 1 photo.    

 

 

 En voici quelques une. 


 Heureux,  c'est Poupouf... :-))  un adorable  Maine Coon .

 
 

 
 

Pitié !... Minet   abandonné dans la nature .

 

 Il semble enfin avoir trouvé  un bon refuge .

 

Je fais remarquer au passage que sa chaise en chêne a été confectionnée par ses maîtres l'assise est de la ficelle dont se servent les agriculteurs pour ficeler les bottes de paille , il a l'air de bien s'en accommoder.

  S'il vous plait
 





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30 août 2005 2 30 /08 /août /2005 22:00

Pour les lapins, nous allions ramasser de l'herbe aidé d'une faucille!...pas facile car c'était une faucille de droitier.

De l'herbe ! Mais pas n'importe qu'elles herbes: pas d'herbes mouillées.Surtout pas de trèfle qui les faisait gonfler, pas d'herbes trop tendre qui leur donnait la diarrhée, pas de mourron rouge qui les empoisonnait . Bien triste sort, pauvre lapin qu'on assommait d'un coup de gourdin, puis que l'on pendait par une patteet puis deux pour leur arracher un oeil, le sang giclait dans un bol ou nous avions pris soin de mettre du vinaigre, ce sang était utilisé pour faire un civet. Avec un couteau on entaillait le pourtour des pattes et l'on tirait la fourrure jusqu'à la queue, ainsi déshabillé, la peau était retournée puis bourrée de pailles ou tendue sur une baguette de coudre que nous ramassions dans la haie.

Je me souviens du gars R'né, pauvre homme ! qu'il a dû souffrir ... Il était imprégné de suint et de graisse. Nos chiens ne l'aimaient pas, ils étaient hargneux et quelquefois la chaîne cassait. Il lui arrivait de faire la sieste dans un fossé

Il passait à vélo et chargé comme un âne , il criait  ! Vous avez quelquechose la maîtresse ? Si c'était un lapin blanc, la peau était plus chère, il repartait en criant : peaux de lapins ,peaux , chiffons , peaux.

J'ai vu mon père... mettre des peaux de lapins retournées, le poil à l'intérieur, attachées au guidon de son vélo pour se protéger du froid .

 
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 A méditer

Un jour, un médecin constatera que mon cerveau a cessé de fonctionner et qu'irrémédiablement  ma vie s'est arrêtée.
Quand cela arrivera, voici mon testament
- Donnez mes reins à celui ou celle qui jour après jour, semaine après semaine  va devoir pour vivre être contraint (e) d'être dialysé (e) via une machine .

- Donner ma vue  à une personne qui n'a jamais regardé le soleil se lever, n'a jamais pu voir le sourire d'un enfant ...
- Donner mon coeur  à une personne à qui le sien  n'a jamais procuré  que des souffrances
- Donner ce qui il y a de meilleur afin de redonner vie  à quelques personnes  dans le besoin
- Brûler ce qui reste de moi et disperser mes cendres afin qu'elles fertilisent notre terre et y fassent pousser des fleurs magnifiques.
- Si vous enterrez quelquechose, que ce soit mes fautes, mes faiblesses et tout ce que j'ai fait de mal vis à vis de mes semblables.

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